Cataclysm, L'exode vers Andhorhal.

Une nuit noire couvrait la ville d'Austrivage quand le capitaine Jacob Melris prit son tour de garde, une ronde de 4h dont l'ennui était le pire ennemie. Accompagné d'une jeune recrue du nom de Samuel Hanks, un brave fermier venu défendre sa terre contre les non-morts qui, malgré son jeune âge avait déjà perdu sa femme et ses deux enfants. Le capitaine de la garde prit le chemin de la tour quand un bruit sourd lointain l'alerta, un bruit égal a dix mille worgens courant dans un pré. Sur leurs gardes, les deux compères regardèrent au loin essayant de déceler un ennemie invisible, quand soudain une fissure apparu droit devant eux, avançant dangereusement sur eux. Effarés, ils coururent sonner l'alarme de la ville pour prévenir ses habitants. Pour la deuxième fois le sol trembla et la tour de guet éclata de l'intérieur propulsant dans toutes les directions des pierres et autre débris mortels.

Un cor de bataille sonna au loin, les non-morts avaient eux aussi des problèmes et pas des moindres. c'est tout le pays qui était en proie au chaos, mais ces cors sonnaient de plus en plus prêt devant eux. Avaient-ils prévu d'attaquer dans la nuit comme l'avaient prévu le commandant ? mais le capitaine n'u pas le temps de réfléchir plus longtemps, une planche se bois le frappa à la tête.

Oui, en personne.

Je suis le commandant Sacye, je suis ici pour de mauvaises nouvelles. Les morts vivant
se regroupe en masse au nord et nous pensons à une attaque de grande échelle.

Hum, voilà qui ne présage rien de bon.

Mes hommes et moi allons camper à deux cent metre d'ici prêt de la rive pour
prévenir toute d'attaque de leurs part. Réunion dans l'auberge dans 1h, je vous laisse.

Le capitaine de la garde se réveilla juste à temps pour parer une épée qui allait le tuer, d'un coup instinctif il démembra le non-mort. Il regarda à droite, puis à gauche et compris que le village était en feu et que les cadavres commençaient déjà a joncher la ville. Aucune trace de sa recrue, seul quelque fermier encore en vie se battait. Puis dans un hélant de crie et d'insulte le commandant Sacye et son bataillon entra dans la bataille en laissant derrière eux un chaos encore plus grand que le tremblement de terre.

Capitaine faite votre boulot, la nuit ne fait que commencer, dit le commandant.

Sans parler celui-ci se rua dans le combat. Un mort, deux morts, trois morts. Le capitaine ne prenait plus le temps de respirer, il tuait avec une rage sans faille. Les larmes aux yeux, il décapita un quatrième mort-vivant. Les vagues d'assaut des créatures de la nuit n'en finissaient pas. La terre tremblait sans jamais s'arrêter, des pierres volaient dans tous les sens, l'incendie grandissait. Cinq morts, six morts, sept ... Jacob Melris pris de plein fouet une lame dans l'épaule et fut projeté en arrière par une abomination. Sur un tas de cadavres, exténuer par l'effort, le capitaine s'évanouit.

C'est dans une grotte que le capitaine Jacob se réveilla. Autour de lui des soldats et des fermiers couraient dans tous les sens, aux cries d'agonie et de sanglot venaient s'ajouter le son des lames qui s'entre choc et des cors lancer à l'unissons, tous ces bruits formait une musique rythmé par le macabre soupir des morts. Cette mélodie sinistre continuer d'approcher, j'entendais maintenant les pas des combattants, leurs souffles et leurs rires.
Un homme se trouve devant moi, il me parle, je vois ses lèvres remuer, je lie le désespoir dans ses yeux. Il me prend avec une poigne hors du commun et me met sur son dos, il se mit a courir, a courir sans jamais s'arrêter, les tunnels sont remplacer par d'autre tunnel, les secondes sont des heures pour moi puis enfin je vis la lumière du soleil, l'homme était essouffler, j'ai remercié en silence mon sauveur avant de fermer les yeux.

Des centaines d'hommes autour de nous, les bras charger d'affaires personnelles ou d'arme avancer vers un pic enneiger ou des cavaliers regarder l'horizon sans doute en quête d'ennemie à tuer oublient presque les civiles et les blessé qui passaient devant eux.

Je regarder le commandant s'éloigner vers les cavaliers qui fixer l'horizon. Celui-ci se retourna et me fit signe de le suivre. Arrivé en haut de la montagne je vis un camps provisoire avec en son centre une table ou était rassemblé les plus hauts gradés. Un homme aux cheveux blanc parler fort, il semblait être au commande de ces chevaliers.

Messieurs, je veux un regroupement de nos chevaliers sur cette montagne prêt a intervenir à partir de l'amont de la montagne sur n'importe quel partie du convoi de paysan. La légion ce bas en ce moment même au niveau de la barricade entre la clairière de tirisfal et les maleterres de l'ouest Au niveau de nos ennemis dans la région, on ne peut tomber que sur des survivants de l'attaque d'hier soir sur Austrivage. Spartanll vous partez avec la deuxième escouade à la porte de la pointe du midi. Erodias vous êtes à l'arrière du convoi avec votre unité. Quentin vous êtes devant.